Dans les coulisses du groupe
Qui est qui ?


Valérie Maurin
Valérie n’aimait pas le judo et voulait jouer du violon. Ses parents l’ont alors amenée à l’école de musique la plus proche ; mais nul professeur de violon ici. Face à la déception chagrine de l’enfant, le directeur de l’école, Dominique Fanal, s’est démené pour ouvrir une classe de violon réunissant quelques jeunes élèves. Qu’il en soit remercié ici ! Des débuts académiques dans cette petite école sarthoise jusqu’au conservatoire de Nîmes, c’est par des petits chemins de traverse, près de musiciens passionnés et exaltants, que Valérie s’est intéressée à la musique traditionnelle, roumaine, suédoise, auvergnate, bretonne, bluegrass, avant de se lier amoureusement à la musique irlandaise.

Lin Maurin
Il y a longtemps, très longtemps, dans les montagnes des Cévennes, un petit garçon qui répétait qu'il voudrait devenir conteur. La maîtresse lui a répondu : "Mais c'est un métier qui n'existe pas !" Déçu, il est donc parti dans une école de musique, avec la motivation d'apprendre à jouer toutes les flûte du monde. 20 ans plus tard, il est sorti du conservatoire de Nîmes avec le diplôme de fin d'étude musicale et s'est lancé dans ses rêves d'autrefois, le chant et le conte traditionnel.
Inspiré par les montagnes autour desquelles il a grandi, si proches et si lointaines des montagnes de l'Irlande que constitue son répertoire actuel, il est l'auteur des histoires de Paddy Orson qu'il raconte sur scène. Passionné par la musique dans son ensemble, il navigue dans le groupe entre la flûte traversière classique en ut et en sol, les flûtes traditionnelles irlandaises, les cuillères musicales, le cajon et les contes inspirées de légendes ancestrales.


Séverine Pantel
À l’accordage ! Mille millions de mille z’accords !
Pour jouer sur tous les tons et dans tous les styles, des chants cadencés de marins aux gracieuses ballades des elfes des bois, il ne suffit pas d’avoir plusieurs cordes à sa harpe, il faut d’abord les accorder ! Si la harpe de Séverine n’a pas les pouvoirs magiques de celle du Dagda, le dieu des druides, qui pouvait jouer à distance, méfiez-vous quand-même qu’elle ne vous envoûte pas !
Jean-Luc Régis
Depuis tout petit, il tape sur des trucs, des bidules et des machins. Cette drôle d'addiction (pas dangereuse à part peut-être pour les oreilles de ses voisins !) l'a conduit à jouer de la batterie pendant des années dans des groupes de Tavern'rock (Le Clan, Les Bouilleurs de Cru). Groupes qui ont écumé les différentes régions de France et d'ailleurs.
Après 30 ans de scène et plusieurs CD ou DVD à son actif, l'envie est toujours là de taper sur des peaux ; peau de bodhran (Percussion d'origine irlandaise) mais aussi peau de banjo qui se joue de lui plus qu'il n'en joue et ne lui avait rien demandé jusque là…
Petit dernier à avoir intégré Sweet Saturday, il va faire de son mieux pour ne pas pervertir cette joyeuse bande mais ne garantie pas que son énergie parfois débordante ne vienne troubler le calme des soirées au coin du feu !
